Randonnées des cousines, cousins et affiliés  Eynaud – Ainaud

au pays de Montmaur et hameau Sauvas

27 au 29 Mai 2016,  Dévoluy

Initialisée par Françoise, ce week-end de découverte du Devoluy  se fait en l’honneur de notre ancêtre Pierre Antoine Eynaud natif de Sauvas.

Galerie de photos plus complète

Passage éclair à Veynes

Arrivant en voiture de Grenoble nous retrouvons Françoise à la gare de Veynes et découvrons cette jolie ville qui semble bien animée.

Après l’acquisition de deux paniers d’origine (probablement) locale et d’un déjeuner en terrasse nous montons vers le pays des ancêtres Eynaud.

  Sur la charmante route vers Montmaur, chapelle perchée Sainte Philomène et découvrons les cimes enneigées du Devoluy.

Nous continuons vers La montagne, le col de Gaspardon et, enfin, la maison forestière de Sauvas

Mise en route au-dessus de Sauvas

 Nous montons par le GR94b et découvrons la flore locale qui nous rappelle parfois celle de  la vallée de Chamonix

Gentianes et Coronilles

Nous atteignons un charmant torrent puis, par une boucle, retrouvons notre demeure locale.

Le hameau Sauvas a été abandonné au début du XXème siècle puis en partie démoli et en partie reconstruit.

La chapelle a disparu ainsi que le cimetière.

Nous recherchons vainement les maisons figurant sur un dessin du XIXème siècle

Soirée de rencontre autour de l’arbre… généalogique

Apéro à côté de la fontaine puis diner généalogique

Samedi 28 : les choses sérieuses commencent

Départ depuis la maison forestière (1400 m)

  GR94b puis bifurcation à gauche à la fontaine pour éviter le névé dangereux du GR vers le Pic de Bure. Ce sera une montée diabolique et superbe

Nos conseillers locaux nous déconseillent le GR qui traverse un névé trop abrupt.

Le paysage devient minéral et le chemin n’est pas évident à trouver…

Des chamois que nous retrouverons plus haut

Un dernier plongeon dans l’eau fraiche avant la grande montée

Les marmottes : Elles sont à la porte de leur terrier, sous de lourdes pierres, humant la chaleur du milieu de journée

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Les chamois : ils nous attendent dans les névés vers 2200m. En nous approchant nous découvrons toute une troupe

en partie à l’ombre car il fait déjà bien chaud. Des petits semblent, de loin, téter leur mère.

Les éboulis pentus et la recherche vaine d’un chemin. Que fait Jean-Marc !  Nous progressons avec peine mais le paysage est superbe.

L’abandon progressif des troupes sous la crête des bergers

Les plus aguerris atteignent le névé situé sous la dernière barre rocheuse avant l’observatoire du plateau de Bure

2000 – 2100 – 2200 m

Le retour : heureux !

Le passage éclair d’une ultra-traileuse solitaire

Tellement rapide que même Jean-Benoit n’a pas pu dégainer son appareil. Seul Lahcen a réagi et tenté de poursuivre le mirage

Nous retrouvons Nina la studieuse au gîte de l’ONF qui termine son mémoire près de la fontaine

Nouveau départ en comité réduit : descente vers Montmaur

Après quelques rafraichissements un trio se décide de rejoindre Montmaur quelques 600 mètres plus bas en passant par l’autre rive de la Sigouste

Passage au barrage sur la Sigouste (1300)

Vers la Cuculiere (1723 m) sur les pistes forestières abandonnées

Vue à distance de la balade du matin, pour un peu on verrait les chamois

La forêt autour de Veynes a été décimée au XVIII / XIXème siècles puis replantée et entretenue depuis 150 ans

Sous le pic Chauve et la tête de Vène au-dessus des gorges de la Sigouste que nous ne verrons qu’en fin de promenade

 La descente rapide dans la forêt et sur de fortes épaisseurs de feuilles puis découverte des hauts de Montmaur (850m),

au loin la chapelle Sainte Philomène avec un incident encore inconnu qui motivera notre dimanche matin…

Passage à la petite ferme de Montmaur pour le beau sourire de Sarah et quelques achats bien appréciés

Ou Michel et sa yaris nous sauvent de deux heures de remontée à pied vers Sauvas

Apéro auprès de la fontaine avec lecture par les cousines Françoise et Christine des actes de nos ancêtres Eynaud de Sauvas et de Veynes.

Découverte, oh malheur, de la perte du bracelet d’Anne dans la promenade de l’après-midi (le fameux incident !)

Après un dîner agréable, anniversaire de Zoé avec force gâteau et cadeaux.

Au matin, pluie. Départ rapide vers Montmaur pour tenter la récupération du bracelet perdu la veille.

Grace à une analyse précise des photos, ce bracelet est localisé dans la dernière patrie du trajet (ouf).

17 :30 il y est, 18 :00 il n’y est plus !

L’espoir revient et, sous la pluie, trois courageux arpentent le chemin en remontant depuis Montmaur jusqu’à la « plateforme ».

Aucune trace !

Lors de la redescente ô  miracle ! Anne retrouve le bracelet au milieu du chemin

De retour à la maison forestière nous nous saluons en nous souhaitons d’autres sorties généalogiques aussi réussies ici ou ailleurs

et chacun reprend ses moyens de transport pour rejoindre Marseille, Paris ou Manosque